Dans ma tête, je n'ai pas l'impression de les avoir, dans mon corps davantage, mais lorsque je me dis que j'ai cet âge, je réalise à quel point la vie passe sans qu'on s'en aperçoive, et je me demande sans cesse si j'en ai fait ce que je devais. Il y a tant de rêves que j'avais et que je n'ai pas réalisé...Mais étaient-ils essentiels?
Alors aujourd'hui, pour fêter ça, je vous offre un peu de danse, celle que j'aime beaucoup après la danse classique:
Belly dance with LED Isis Wings - Ancient Ruins by Layali Show Group
Belle performance hivernale du Layali Bellydance Group, avec LED Isis Wings sur la chanson Ancient Ruins d'Issam Houshan.
Spectacle de la Layali Dance Academy hiver 2021 au Dieselverkstaden à Stockholm, Suède.
Chorégraphie d'Agnès + le groupe.
Layali est le groupe officiel de spectacles de danse orientale de la Layali Oriental Dance Academy (Layali Orientaliska Dansakademi) à Stockholm, en Suède. Le groupe est disponible pour des représentations en Suède et dans toute l'Europe.
Waltz of the Snow Flakes in George Balanchine´s "The Nutcracker "- The NYC Ballet
"Casse Noisette", la valse des flocons de neige
New-York city compagnie
Chorégraphie de Balanchine
"Je veux garder les yeux ouverts sur les souffrances, le malheur, la cruauté du monde, mais aussi sur la lumière, sur la beauté, sur tout ce qui nous aide à nous dépasser, à mieux vivre, à parier sur l'avenir!"
Andrée Chedid
Je veux encore croire à la force de l'Amour, de la Conscience, et de la Lumière!
The Tales of Beatrix Potter est un film britannique réalisé par Reginald Mills et chorégraphié par Frederick Ashton, sorti en 1971. Le film est basé sur les histoires de Beatrix Potter.Les Contes de Beatrix Potter a été créé en 1971 pour un film, faisant revivre avec une précision étonnante les célèbres images et histoires de Beatrix Potter. Les danseurs du Royal Ballet sont habillés et masqués pour ressembler exactement à ceux que nous connaissons grâce aux illustrations.
S'inspirant des illustrations de Beatrix Potter, ce film musical met en scène ses contes en une suite de saynètes sans paroles créées par Frederick Ashton, grand chorégraphe britannique du XXe siècle. Accompagnés d'une musique du Royal Opéra britannique, les danseurs du Royal Ballet évoluent sur scène masqués et déguisés en animaux de la ferme, des bois et des champs, incarnant les petits héros anthropomorphiques du monde merveilleux de l'auteure.
"Hi, my name is Mia! I am a 16 year old dancer training in NYC. I attend the JKO school of ABT. Ilove ballet, lyrical, and contemporary dance. 💜 Live life and keep on dancing!💜
Bonjour, je m'appelle Mia ! Je suis une formation de danseuse de 16 ans à New York. J'assiste à l'école JKO d'ABT. J'adore la danse classique, lyrique et contemporaine. 💜 Vivez la vie et continuez à danser ! 💜"
C'est sous un beau soleil que la fête a débuté à 10h pour toute la journée!
Musique, danse, promenades dans ce merveilleux parc où les visiteurs se sont retrouvés enchantés!
Dés l'entrée, le ton est donné avec une joueuse d'orgue de Barbarie, et quelques vieilles calèches exposées...
Les groupes se succèdent dans le kiosque, et sur les scènes de danse!
Mettre en grand écran et le son
L'orchestre philarmonique de Luçon...
Et l'école de danse classique de Marie-Christine Daviet, où je prends des cours, mais dont seuls les meilleurs élèves sont présents.
Après le discours du maire, un vin d'honneur est servi sous les arbres... Puis avec mon amie, nous sommes allées manger nos crèpes près de l'étang. Et là, oh joie, une nouvelle portée de petit canetons, 13 en tout sont là avec papa et maman qui veillent!
Je ne suis pas restée toute l'après-midi, mais j'ai bien profité de cet agréable moment!
Présentation de PROLOGUE de notre nouvel album Paperback Fables Opus de Simeon Lumgair avec Queen of Opera.
Prologue est le début d'un spectacle, une constellation de l'orchestre et un assemblage factice des musiciens sur la scène - l'interaction entre la fragilité et le dynamisme.
Une ballerine se produit dans un manoir vide, un moment de beauté solitaire. Elle capte avec grâce la lumière et glisse silencieusement comme un oiseau de chasse.
Je viens de voir "Rumba la vie", le nouveau film réalisé par Franck Dubosc .
Après le succès de son premier film "Tous debout" en tant que réalisateur,
Franck Dubosc est repassé derrière la caméra pour un nouveau film,
mélange d'émotion, de tendresse et d'humour.
Bande annonce
"Tony, la cinquantaine, chauffeur d'autobus scolaire renfermé sur lui-même, vit seul après avoir abandonné femme et enfant vingt ans plus tôt. Bousculé par un malaise cardiaque, il trouve le courage nécessaire pour affronter son passé et s'inscrire incognito dans le cours de danse dirigé par sa fille, qu'il n'a jamais connue, dans le but de la reconquérir et de donner un sens à sa vie."
Danse superbe sur la musique de "Historia de un amor"
Les uns et les autres! Ce pourrait être un sujet de réflexion important, mais là, c'est le titre d'un film!
Les Uns et les Autres est un film français de Claude Lelouch, sorti en 1981
Le film retrace l’histoire de trois générations unies par l'amour de la musique et de la danse, de l'entre-deux-guerres aux années 1980, dans quatre pays : France, Allemagne, Russie, États-Unis. Les quatre histoires se rejoignent dans la scène finale, un concert à Paris.
Et quelle scène finale!
Un final magnifique avec le Boléro de Ravel de Béjart, dansé par Jorge Donn!
Bien sur, mettre en grand écran avec le son!
Et si ce soir, vous êtes seul, ou que vous ne savez pas quoi faire, vous pourrez toujours regarder le film en entier, il dure 3 heures!
Famille russe : l'histoire commence en 1936 à Moscou. Tatiana (Rita Poelvoorde) danse le Boléro de Ravel devant un jury qui désigne la première danseuse du Bolchoï. Boris Itovitch (Jorge Donn), un membre du jury, en tombe amoureux. Tatiana échoue mais épouse Boris. La guerre survient, tuant Boris. Leur fils, Sergei, sera un grand danseur. Certains traits de sa vie font penser à Rudolf Noureev.
Famille française : une violoniste aux Folies Bergère, Anne (Nicole Garcia), tombe amoureuse du nouveau pianiste de son orchestre, Simon (Robert Hossein). Ils se marient et ont un enfant, David. Mais Anne et Simon sont juifs et seront déportés. Alors qu'ils sont dans un train en partance pour les camps, Simon a l'idée, lors d'un arrêt du train, de laisser le bébé sur la voie de chemin de fer avec son nom, une adresse et de l'argent. Mais après la guerre, Anne revient seule des camps et ne retrouve pas David. Elle passera le reste de sa vie à le chercher, se rendant régulièrement sur la voie de chemin de fer où elle l'a laissé, jusqu’à en devenir folle.
Famille allemande : à Berlin, avant la guerre, Karl Kremer (Daniel Olbrychski) joue la Sonate au clair de lune devant le Führer. Ce dernier le félicite chaudement et lui confiera plus tard la musique des troupes d'occupation à Paris. Ce passé nazi le poursuivra malgré lui toute sa vie. Certaines scènes rappelleront la carrière de Herbert von Karajan.
Famille américaine : Jack Glenn (James Caan) dirige un orchestre de jazz et est marié à une Française, Suzanne (Geraldine Chaplin), avec qui il a deux enfants, Jason et Sarah. Pendant la guerre, il part diriger un orchestre dans l'armée pour les troupes. Certains éléments font penser à la vie de Glenn Miller.
Le film présente notamment comme particularité d'avoir les mêmes acteurs pour représenter différentes générations : par exemple, Rita Poelvoorde interprète à la fois la mère de Sergei et sa fille plus tard dans l'histoire ; quant à Sergei, il est joué par Jorge Donn qui joue également son père, Boris. Idem pour Robert Hossein qui interprète le père et son fils ou Evelyne Bouix (la mère et sa fille).
Cérémonie des César 1982 : César du meilleur film, César de la meilleure musique originale, César du meilleur son et César du meilleur montage
Acteurs:
Robert Hossein : Simon Meyer / Robert Prat
Nicole Garcia : Anne Meyer
Geraldine Chaplin : Suzanne Glenn / Sarah Glenn
James Caan : Jack Glenn / Jason Glenn
Daniel Olbrychski : Karl Kremer
Macha Méril : Magda Kremer
Jorge Donn : Boris et Sergei Itovitch (inspiré par le personnage de Rudolf Noureev)
Fille d’un artiste peintre, elle a toujours aimé transformer la matière : soie, bois…Et c’est le travail de la terre qui lui a permis de retirer le plus d’émotion, de mouvement, et de sincérité.
Reconnue pour ses danseuses, le mouvement est toujours au bord de la rupture d’équilibre.
J'ai toujours été impressionnée par cette danseuse particulière, comme un ange, un oiseau...
Loïe Fuller, née Mary Louise Fuller, était une danseuse américaine originaire de Fullersburg dans l’Illinois. Née en 1862 elle se fait connaître en tant que comédienne en octobre 1891, lors de la création de la pièce Quack Medical Doctor à Holyoke, dans le Massachusetts. Rêvetue d’une longue chemise de soie blanche, elle improvise de grands mouvements pour interpréter une femme sous hypnose. Le public réagit alors spontanément en s’écriant « Un papillon !… Une orchidée !… ».
C’est ainsi qu’elle crée sa première chorégraphie, la Danse serpentine, au Park Theatre de Brooklyn, à New York, le 15 février 1892.
La même année Fuller vient en Europe pour s’installer à Paris. Elle débute aux Folies Bergères et devient rapidement l’une des artistes les plus importantes et les mieux payées dans le monde du spectacle.
A l’occasion de la grande Exposition universelle de 1900 Loie Fuller danse sous la lumière d’un arc électrique dans un palais de verre, construit par Saint-Gobain et la verrerie de Saint-Denis : le Pavillon de l’électricité. Douze mille lampes électriques éblouissent les spectateurs et permettent d’obtenir les premières photographies nocturnes d’une Exposition et des vidéos du ballet.
Dès 1892, les pièces de Loïe Fuller avaient été d’une très grande innovation. La danseuse, vêtue d’une immense robe claire (qui pouvait parfois utiliser plusieurs centaines de mètres de tissu), évoluait sur un fond noir, éclairée par des lumières de couleurs. Des machinistes, placés à différents endroits de la salle, dirigeaient sur elle la lumière d’un projecteur qu’ils tenaient de la main gauche, cependant que, de la droite, ils faisaient tourner un disque de verre divisé en secteurs de couleurs variées. Elle utilisait occasionnellement des miroirs qui renvoyaient sn image à l’infini. Cette mise en scène correspondait exactement aux théories optiques contemporaines (celles d’Eugène Chevreul, par exemple) qui inspiraient les peintres de l’avant-garde, les Néo-impressionnistes dont Signac et Seurat, et utilisaient cette nouvelle technologie qu’était l’électricité. Mallarmé la considérait comme l’incarnation même de l’utopie symboliste, il décrivit la danse de Loïe Fuller comme « ivresse d’art et, simultané, accomplissement industriel ».
Malgré une longue et impressionnante carrière, elle fut pratiquement oubliée après sa mort à Paris le 1er janvier 1928