Je vous salue Marie pleine de grâce...
Et je pense aux larmes que vous devez verser en ce moment.
Vous, la mère universelle de tous les humains ou presque
Toutes les larmes qu'une mère peut verser
En voyant mourir ses enfants.
Je vous salue Marie pleine de grâce...
Et je pense aux larmes que vous devez verser en ce moment.
Vous, la mère universelle de tous les humains ou presque
Toutes les larmes qu'une mère peut verser
En voyant mourir ses enfants.
La philharmonie d’hier
Le jeudi 20 mai 1875 naissait la Société philharmonique luçonnaise. « La France voulait oublier la défaite de 1870, le pays éprouvait un frénétique besoin de gaieté. Les Français s’étourdissaient à retrouver la musique et la danse », souligne Yann Chevalier dans son histoire de la Philharmonie. Le premier chef, Joseph Hoenig, donnera son dernier concert en avril 1900, sous le kiosque voulu par Julien David, inauguré en 1891. Après la Première Guerre mondiale, la société a un temps compté un orchestre symphonique en sus de l’harmonie. En 1947, Louis Porcher crée l’école de musique pour assure l’avenir de la société philharmonique.
La philharmonie d’aujourd’hui
L’orchestre d’harmonie compte 58 musiciens de 15 à près de 80 ans et est dirigée, depuis 3 ans par la cheffe Anne-Laure Lucas a insufflé une nouvelle ère, une nouvelle façon de travailler, un nouveau programme