Stephanie Pui-Mun Law (née en 1976 ) est une peintre et illustratrice américaine qui travaille principalement à l'aquarelle et dont l'art s'inspire et dépeint des scènes de fantaisie , de l' Autre Monde et du surréaliste.
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https://johala85.blogspot.com/2022/12/stephanie-law.html
https://www.huffingtonpost.fr/environnement/article/ces-bracelets-censes-sauver-des-animaux-ont-tout-d-une-arnaque-de-noel_211463.html
C'est un crime contre l'humanité, et contre 38 millions de femmes et de filles.
Les Afghanes bannies de l'université : "Tous ensemble ou aucun de nous", des professeurs et des étudiants démissionnent ou quittent les cours pour soutenir les femmes
Les femmes n'ont désormais plus le droit d'aller à l'université en Afghanistan car les étudiantes ne "respecteraient pas le code vestimentaire", s'est justifié le ministre afghan par intérim de l'Enseignement supérieur et selon lui, la ségrégation des sexes est insuffisante dans les universités.
"Nos étudiants masculins ont quitté la classe en jetant le drapeau de l’Émirat islamique au sol. Les garçons ont dit qu'ils ne reviendraient pas en classe tant que les filles n’étaient pas réintégrées"
Des professeurs démissionnent
Amir Arezo, enseignant de droit pénal et de criminologie à l’université à Kaboul, a choisi de démissionner. "Je sais que ma démission n’est en aucun cas une pression pour eux. Mais ma morale et ma conscience ne me permettent pas d’enseigner la justice, le droit aux garçons alors que les filles n'ont pas le droit à l'éducation". Hacib Ali, professeur de droit a aussi jeté l’éponge et appelle ses confères à riposter. "Je demande à tous les professeurs des universités privées et gouvernementales de démissionner."
https://www.francetvinfo.fr/monde/afghanistan/les-afghanes-bannies-de-l-universite-tous-ensemble-ou-aucun-de-nous-des-professeurs-et-des-etudiants-demissionnent-ou-quittent-les-cours-pour-soutenir-les-femmes_5559840.html
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Maintenant que les deux belles sont devenues inséparables à Elephant Haven!
@ElephantHavenFrance
En fait, ils voudraient ETRE le sapin de Noël!!!😂😂😂
Malgré la guerre, les familles ukrainiennes se réunissent pour passer ensemble ces fêtes de fin d’année, quitte à adapter leurs traditions pour s'éloigner de la Russie.
De nombreux Ukrainiens en exil rentrent en Ukraine pour célébrer Noël avec leur famille. Malgré cela, parmi les 106 000 réfugiés Ukrainiens en France, principalement des femmes et des enfants, beaucoup de tristesse pour ceux qui ne peuvent pas retourner dans leur pays pour passer les fêtes en famille!
Beaucoup s’éloignent de tout ce qui rappelle la Russie. Sur la place Sainte-Sophie, au pied du sapin de Kiev, Igor a troqué son costume de père Noël russe, le Père Gel, contre un déguisement d’ourson plus consensuel. "Les gens devenaient agressifs avec ce symbole du Noël à la Russe, explique-t-il, même si lui-même a du mal à le comprendre : "Ce ne sont que des costumes, ça ne fait pas de mal !"
Mais, "disons que l'esprit de Noël a changé", explique Ksenia, sa fille Paulina à ses côtés. Comme Valeria, sa famille s’apprête à abandonner les dates des fêtes orthodoxes. Elle aussi rêve d'Europe et fêtera Noël le 25 décembre.
https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/ukraine-a-kiev-l-esprit-de-noel-a-change-et-des-habitants-abandonnent-le-calendrier-orthodoxe-a-la-russe_5558892.html
Sur la deuxième photo, vous pouvez mieux le voir. Il fait bien 80cm de haut. Sa présence semble un peu anachronique, mais pour moi, il a été un signe que je devais bien être là, dans cette ville!❤️
Des milliers de réfugiés qui ont fui la guerre en Ukraine vont fêter leur premier Noël en exil, loin des leurs. C’est le cas d’Olena et de sa petite fille Valentina agée de 4 ans. Mais accueillies par une famille française, ils vont tenter ensemble de garder un esprit de fête.
Ce soir sur la table du réveillon, pas de plats ukrainiens. Cette année, Noël aura de toute façon une saveur différente. Ce Noël sera le premier loin de leur famille. La grande fille d’Oléna est réfugiée en Hollande et son mari est resté défendre l’Ukraine."D’habitude nous sommes en famille. Mon mari est sur le front. Il m’a dit : Oléna, je vais passer Noël dans une tranchée. Je lui ai répondu que nous penserons très fort à lui, ce soir. Nous ne sommes pas ensemble physiquement mais nous le sommes par l’esprit. Je pense à lui tout le temps."
Cette nuit, Agnès, sa famille, Olena et Valentina iront à la messe de Noël et Oléna priera très fort pour que "cette guerre s’arrête et ne recommence plus jamais".
Pour Anastasia, 13 ans, handicapée et réfugiée avec son père, depuis le début de la guerre en Bretagne, Le plus beau cadeau de Noël, c'est d'avoir retrouvé sa grand-mère, près de 9 mois après avoir quitté son pays. À l'approche de Noël, son père a décidé de demander à la grand-mère d'Anastasia de faire le voyage depuis l'Ukraine. Alors, Halyna, 60 ans, est montée dans un bus à Ivano-Frankivsk, à une centaine de kilomètres de Lviv, pour 47 heures de voyage et plus de 2500 kilomètres. Halyna est arrivée à Quimper le 16 décembre pour un mois, "Je pensais ne jamais les revoir", a-t-elle confié en pleurs. La famille ne célébrera pas non plus le Noël fixé par l'Église orthodoxe, entre le 6 et le 7 janvier, en protestation contre le conflit engagé par l'armée russe en février.
Invités par un théâtre parisien, les danseurs du ballet national d'Ukraine présentent Giselle. Loin de la réalité de leur pays, ils souhaitent à tout prix maintenir un spectacle pour leur population.
Une arrivé à Paris tout en grâce, après un long voyage en provenance d'Ukraine. Il y a quelques jours, Natalia Matsak et Sergii Kryvokon se trouvaient chez eux, à Kiev. Couple sur la scène et dans la vie, ces deux danseurs étoiles font partie de la troupe du ballet national d'Ukraine, accueilli pour les fêtes de fin d'année par un grand théâtre parisien. Au programme, Giselle, célèbre classique du répertoire romantique français. Première répétition pour le corps de ballet et pour le chef d'orchestre, venu lui aussi d'Ukraine. C'est la première fois depuis le début de la guerre que ces artistes quitte leur pays.
Un quotidien loin de la guerre
Dans ce cocon parisien, les danseurs renouent avec un confort qui n'est plus qu'un lointain souvenir. À Kiev, leur quotidien sur scène sont les bombardements, les coupures d'eau et d'électricité. Mais chacun, là-bas, tient à maintenir coûte que coûte un spectacle pour la population ukrainienne. Arrive le grand soir, celui de la première devant le public parisien. Dans quelques minutes, levée de rideau. À Paris, les arabesques des danseurs se sont faites plus légères et les applaudissements du public ont fait taire les sirènes d'alerte.
https://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-2/20-heures/fetes-de-fin-d-annee-a-paris-le-ballet-national-d-ukraine-danse-pour-son-pays_5560728.html
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