Vous penserez à prendre la brouette????😂
"Ils l'ont arrosé dans un compartiment avec de la peinture à l'huile et de l'acétone. Les yeux brûlent terriblement. Train Moscou-Samara. Odeur d'huile partout dans la voiture. Le départ a déjà été retardé de 30 minutes. Je vais essayer de laver. Il a crié : « Muratov, voici pour nos garçons », a déclaré le rédacteur en chef de Novaya Gazeta.
Je suis vraiment désolé pour Mr Mouratov, un homme courageux, qui a dit la vérité avec toute son équipe ! Nous pouvons montrer comment les Russes traitent celui qui essaie de relayer de vraies informations ! Beaucoup d'entre eux sont également responsables de la situation en Russie !!!! Honte à eux!🙏🙏🙏♥️♥️♥️
Une pensée pour Edith qui les aimait tant!
“C’était un missile Tochka, une bombe à fragmentation”, a affirmé à l’AFP un officier de police sur place: “Il explose en plusieurs endroits, sur une superficie de la taille d’un terrain de football”.
STOP POUTINE!😢😢😢
"Née à Moscou le 20-11-1925 dans une famille de l'intelligentsia juive, Maïa Plissetskaïa est scolarisée à Barentsburg au Spitzberg, où son père, Mikhaïl Plissetski. En 1937, ce dernier est emprisonné, sous l'inculpation d'« ennemi du peuple », lors des Grandes Purges, puis exécuté l'année suivante. Sa mère, née Rachel Messerer, de confession israélite, actrice de cinéma muet, est emprisonnée au motif qu'elle est l'épouse d'un « ennemi du peuple ». Elle sera déportée au Kazakhstan dans un camp de travail du Goulag pour épouses « d'ennemis du peuple » de 1938 à 1941 avec son plus jeune fils, Azari Plissetski, alors âgé de sept mois et aujourd'hui maître de ballet au Béjart Ballet de Lausanne. À la suite de ces arrestations, Maïa Plissetskaïa, privée de ses parents à l'âge de 13 ans, est confiée aux soins de sa tante maternelle, la ballerine Soulamith Messerer, après que celle-ci se fut battue pour que sa nièce ne soit pas placée dans un orphelinat. Entourée de sa tante, et de son oncle qui fut à l'époque l'un des meilleurs pédagogues de l'école de danse du Bolchoï, la jeune Maïa se dirige tout naturellement vers la danse.
Malgré son succès, elle n'est pas très bien vue ni traitée par le pouvoir soviétique. En tant que fille d'« ennemis du peuple » et de « personne politiquement peu sûre », la ballerine est en butte incessante à la défiance des autorités : elle n'est pas autorisée à sortir du territoire de l'Union soviétique pendant six ans après avoir rejoint la troupe du Bolchoï. Le gouvernement l'utilise comme ambassadrice des arts à l'étranger, mais lui fait les pires affronts dans son pays.
Elle danse devant Staline pour l'anniversaire de celui-ci : « J'avais peur. » se souvient-elle « J'étais morte de trac. Je scrutais sans cesse le public, cherchant qui était responsable du malheur de ma famille. »
"Vivons notre vie... Et je l'ai vécue. Je n'oublie pas ceux qui ont été bons pour moi.
Ni ceux qui sont morts, broyés par l'absurde. J'ai vécu pour la danse grâce à laquelle j'ai tenu bon"
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ma%C3%AFa_Plissetska%C3%AFa